Love Actually

Bon, tant qu'à faire de regarder des vieux films, c'était quand même difficile d'ignorer un classique parmi les classiques, alors aujourd'hui on part à Londres et on se fait une petite séance de Love Actually, histoire de voir si la #ChristmasRomCom au casting 4 étoiles de 2003 a bien vieilli.

Ok, faisons semblant de ne pas connaître ce film, alors ça parle de quoi ?

C'est l'histoire de Peter, Jamie, Aurelia, David, Natalie, Juliet, Karen, Harry, Sarah, Daniel, Sam, John, Judy et encore plein d'autres. On est un mois avant Noël, pour certain·e·s ça va plutôt bien (par exemple David viens d'être nommé 1er ministre), mais pour d'autres c'est la loose. Daniel est veuf, Sam a perdu sa maman, la copine de Jamie le trompe avec son frère (à lui, pas à elle), Peter est amoureux de la femme de son meilleur pote, Colin arrive pas à pécho (bon en vrai Colin est gros charo et on n'est pas désolé pour lui du tout #ChehColin)... 

Bref, tout ce petit monde va se croiser et s'entrecroiser jusqu'au soir de Noël dans un scénario virtuose, on rit, on pleure, et à la fin, tout le monde aura trouvé un sens à sa vie (sauver l'Angleterre ?) et l'amour.

Ou presque.

Parce qu'au milieu de toutes ces histoires d'amour, il y a Emma Thompson, qui elle va probablement devoir divorcer d'Alan Rickman et franchement ça me brise mon petit coeur de daronne, d'où elle a pas son happy ending Emma ?

Bon, à part ça le film est grossophobe as fuck (les normes de poids au début des années 2000 mais quelle horreur mes aïeux), et beaucoup de personnages (masculins) ont manifestement un GROS problème avec le concept de harcèlement sexuel sur leur lieu de travail.

Bilan final : 45% sur l'échelle PoC, les acteurs sont au top, la virtuosité narrative est indéniable, mais c'est quand même trop la foire aux comportements problématiques, si je montre ça à mes adoes elles vont me défoncer.

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