Christmas under the northern lights/Noël à Aurora
Ah ben pas de bol tiens. Et du coup ça va parler de quoi ce film ?
C'est l'histoire d'Erin, qui est écrivaine. Enfin pour être précise, Erin a écrit un premier livre sur les rues de Boston (dont les ventes suffisent apparement pour la faire vivre) et maintenant elle cale sur le sujet de son deuxième opus. Du coup, pour se donner un boost de créativité, elle accepte d'accompagner son vieux papa à Aurora, un bled du nord-ouest canadien, berceau de la famille paternelle, et accessoirement haut-lieu d'observation des aurores boréale. #NoShitSherlock
On notera par ailleurs qu'Erin est célibataire pour les fêtes, mais personne ne le lui fait remarquer pendant toutes la durée du film. Ahlalala ma bonne dame les #ChristmasRomCom c'est plus ce que c'était tiens.
Je vous rassure néanmoins. Après une heure trente de film, et une rencontre avec un guide touristique BG, Erin aura bien trouvé un sens à sa vie (aka, le sujet de son nouveau bouquin), et l'amour.
Si je devait chercher des poins positifs à ce film, je dirais que le vieux papa d'Erin semble avoir une retraite correcte qui ne le force pas à travailler jusqu'à la mort (et franchement c'est pas la norme dans ces films), et pour une fois, les protagonistes ferment leur manteau correctement. Ce qui tombe plutôt bien puisqu'Erin passe littéralement son temps à répéter en boucle qu'il fait un froid de canard.
À part ça, on passe tout le film à attendre les fameuses aurores boréales, c'est une sorte de running gag pendant 1h30. Mais hélas, ça ne suffira pas à maintenir éveillé·e un·e spectateurice un peu fatigué·e devant cette histoire où il ne se passe vraiment pas grand chose.
Bilan final : 15% sur l'échelle PoC, des acteurices sans charisme, pas de ch'wal, à peine quelques caribous vus de loin.

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